Un aidant familial, c’est quoi ?

Le proche aidant ou aidant familial est une personne venant en aide à un parent ou une personne dépendante ou en situation de handicap ou en fin de vie. Cette personne peut être un proche ou une personne dans son entourage. En termes simples, l’aidant familial est une personne apportant son soutien à une personne dépendante notamment pour accomplir certains actes essentiels de la vie courante.

Même si le statut d’aidant familial salarié n’existe pas en tant que tel, il est tout de même considéré comme salarié travaillant auprès d’un particulier employeur. De ce fait, il bénéficie des mêmes aides particulières à son travail comme :

• La prestation de compensation du handicap PCH
• L’allocation pour enfant handicapé
• L’allocation personnalisée d’autonomie APA

De plus, les allocations sociales que la personne en situation de handicap ou en perte d’autonomie jouit lui permettent aussi de bénéficier de déductions sur le plan fiscal dont le montant représente la moitié des sommes versées.

Une différence mérite d’être faite entre le statut d’aidant familial et d’aidant naturel. Le premier est accordé aux ascendants, descendants ou toute personne entretenant un lien étroit et stable avec l’aidé. Quant à l’aidant naturel, ce statut est accordé à la personne choisie par la personne aidée afin de l’assister dans l’accomplissement des soins prescrits par son médecin. Cet accompagnement ayant pour but de favoriser son autonomie. En principe, un aidant naturel doit avoir suivi un apprentissage dispensé par des professionnels de santé. Pour mieux comprendre ce statut, documentez-vous sur odella.fr. Ce site vous livre toutes les informations utiles à ce sujet.

Comment devenir aidant familial ?

Vous avez le choix entre devenir aidant familial salarié ou non.

Pour vous déclarer en tant qu’aidant familial non salarié, vous devez vous adresser au conseil général du département versant la prestation de compensation du handicap par voie de courrier en y indiquant les identités de l’aidé et de l’aidant ainsi que le lien de parenté subsistant. La loi a imposé certaines conditions pour jouir du statut d’aidant familial salarié. Ne peuvent prétendre à une rémunération, les époux ou conjoints puisqu’ils se doivent assistance mutuelle. Ainsi, seuls les proches comme les frères, sœurs, enfants ou neveux/nièces peuvent devenir aidant familial salarié. Pour ce faire, il faut procéder à la rédaction d’un contrat de travail et d’une déclaration auprès des services sociaux pour établir clairement sa situation professionnelle auprès des organismes sociaux et fiscaux.

Pour être aidant familial salarié, vous devez d’abord inscrire la personne dépendante comme étant votre employeur auprès de l’URSSAF. La démarche peut se faire en ligne sur le site de CESU. L’employeur reçoit ensuite dans les jours qui suivent un numéro d’immatriculation, un identifiant et un mot de passe lui permettant d’effectuer les différentes déclarations mensuelles. Le particulier employeur doit effectuer sa déclaration tous les mois en indiquant le nombre d’heures effectuées et le salaire horaire net.

Le droit aux congés de l’aidant familial salarié

Il peut prendre des congés notamment le congé solidarité familiale dont la durée ne dépasse pas trois mois. Ce type de congé n’est pas rémunéré, mais l’aidant familial bénéficiaire peut percevoir une allocation journalière d’accompagnement d’une personne en fin de vie de 56.27 euros par jour.

Les lois qui régissent le test de paternité

Pour qu’un test de paternité ait une valeur juridique, il faut faire une demande au tribunal de grande instance. Seul le juge est habilité à accorder le test selon les preuves ou les témoignages apportés par le demandeur. Pour faire le test, il faut également le consentement du père présumé. Une fois la requête acceptée par le tribunal, on peut procéder au test de paternité. Pour ce faire, une analyse de l’ADN du présumé père et de l’enfant est effectuée. Ce test doit être réalisé dans un laboratoire agréé respectant les protocoles établis par le tribunal. L’article 16-11 du code civil stipule que faire un test ADN est autorisé à des fins médicales ou des recherches scientifiques. On peut également avoir recours au test de paternité pour connaitre l’identité d’un défunt. Dans le cas de recherche de paternité ou de contestation de paternité, cette action doit être faite après la naissance de l’enfant. Cette loi française est applicable dans tout le territoire et son non-respect est puni par le Code pénal et l’on peut écoper de 1 an de prison avec 15 000 € euros d’amende.

Les procédures à suivre pour faire un test de paternité légal

Avant d’entamer les démarches légales pour un test de paternité, il est possible d’effectuer un test de paternité à titre privé auprès d’un laboratoire étranger. Le site Vaterschaftstest DNA fait partie des adresses que vous pouvez contacter en ce sens. Une fois les résultats obtenus, vous pouvez décider s’il est nécessaire d’effectuer des démarches légales pour effectuer un test de paternité ayant une valeur juridique. Si c’est le cas, sachez qu’une fois l’autorisation du tribunal accordée, on peut procéder à des prélèvements d’échantillons d’ADN dans un laboratoire agréé par le tribunal. Il existe plusieurs manières de procéder à ces prélèvements. Le plus fréquent est le frottis buccal qui consiste à insérer un coton-tige contre la paroi de la joue du père et de l’enfant pour retirer le maximum de cellules buccales pour obtenir des échantillons d’ADN permettant d’effectuer l’examen. Mais on peut aussi prendre et utiliser un échantillon de salive. Enfin, il y a le plus classique qui est la prise de sang. En comparant les échantillons d’ADN, on peut connaitre avec exactitude si le patrimoine génétique du présumé père et de l’enfant correspond.

Quelques visites de routine et choix de la maternité

Vous devez consulter régulièrement votre médecin pour vérifier l’état de santé de bébé, connaitre la date prévue de l’accouchement, etc. Durant la consultation, vous ferez une échographie et des tests sanguins pour contrôler votre état de santé et celui du bébé. Vous ne devez pas prendre à la légère cette consultation avant l’accouchement, car elle joue un rôle important dans le bon déroulement de l’accouchement. D’ailleurs, à l’approche de la date prévue pour l’accouchement, les consultations doivent se faire au moins une fois par semaine pour voir si le bébé se trouve dans la bonne position et si vous pouvez accoucher par voie basse l’heure venue.

Vous devez faire le choix de la maternité. Vous devez faire cela bien avant la date prévue pour l’accouchement, car le délai d’inscription dans ce genre d’établissement doit être effectué en général dans les 5 mois de grossesse. Vous devez, selon vos envies, mais surtout selon votre budget, choisir entre un hôpital public ou une clinique privée. Pour faire le bon choix, vous devez aussi considérer d’autres critères importants, comme la proximité géographique de la maternité par rapport à votre lieu d’habitation, les services que l’établissement propose et les équipements qui y sont accessibles. N’oublions pas de mentionner qu’en parallèle, vous devez aussi penser aux équipements et produits pour accueillir votre bébé dans le confort et en toute sérénité.

Suivre des séances de préparation à l’accouchement

Pour bien préparer l’accouchement, trouvez des conseils utiles sur des sites spécialisés tels que accouchement-naturel.com. Misez également sur les SPA (Séances de Préparation à l’Accouchement). Il est essentiel de suivre ces séances surtout si c’est la première fois que vous allez être maman. Ces cours sont destinés à aider les futures mamans à mieux vivre leur accouchement. Les séances permettent aussi aux futures mamans de poser aux médecins ou aux sages-femmes les questions qui les intriguent sur l’accouchement. Habituellement, les SPA sont données par des psychologues professionnels, des médecins et des sages-femmes expertes. Parmi les méthodes de préparations à l’accouchement, il y a la PPO (Psychoprophylaxie Obstétricale). Cette méthode consiste à préparer psychologiquement la femme enceinte pour qu’elle n’ait plus de crainte face à l’accouchement. Utilisée dans les maternités, cette méthode se fait en 2 parties, dont la partie théorique qui permet aux femmes enceintes de comprendre le déroulement d’une grossesse et d’un accouchement, et d’avoir des conseils lors du retour à la maison avec le bébé. Il y a également la partie pratique. L’on propose des exercices musculaires et respiratoires, ainsi que des techniques de relaxation. Enfin, n’oubliez pas qu’avant un accouchement, la future maman doit être en forme, à la fois mentalement et physiquement. Pendant les cours de préparation à l’accouchement, on conseille aux femmes enceintes d’éviter le stress, de ne pas se fatiguer, de manger sainement, etc.

Que subit réellement un enfant surdoué ?

Un enfant HQI porte un regard très différent des autres sur le monde. Il a une représentation très particulière de chaque élément du monde. Bien qu’il soit qualifié de surdoué, talentueux, de haut potentiel, il ne ressemble pas toujours au fond de lui à cette image de supériorité, de facilité, d’aisance, de réussite et d’idéal. À force de vouloir se mettre à la norme, être accepté ou être reconnu par sa différence, il peut vite souffrir de mal-être. Souvent, l’enfant surdoué est marginalisé, incompris par son entourage. Ce qui peut engendrer une souffrance, un mal-être menant naturellement à une difficulté d’intégration et d’adaptation. Sa vie rime rapidement à des relations difficiles tant au niveau personnelles que professionnelles.

Comment l’aider à vivre mieux sa vie ?

Emmener un enfant voir un psychanalyste ou un psychologue à Bordeaux peut s’avérer être une bonne idée. Seul ce professionnel est en mesure de comprendre parfaitement la psychologie des enfants intellectuellement précoces. Un enfant surdoué a besoin d’une personne qui le comprend parfaitement pour l’aider à s’accepter et à vivre pleinement ses dons. Grâce à des approches et des techniques de soutien, le psychologue aide l’enfant à avoir pleinement confiance en lui. Il encadre son intelligence sociale, émotionnelle, artistique et pratique. Il aide à construire sa vie comme tout le monde sur une base biologique, affective, intellectuelle, culturelle… Pour y parvenir, le psychologue se base sur l’écoute et l’échange. Il aide le patient à exprimer ses souffrances avec des mots pour mieux les aider.

Donner une image positive du parent absent

Si le père ou la mère n’est plus là ou s’est distancié(e), il y a toujours son image. Particulièrement en cas de séparation, pour éviter que l’enfant ne se retrouve à devoir choisir, il faut donner une image positive du parent absent. Vous l’auriez compris, il ne s’agit donc pas d’être celui ou celle que son enfant préfère.
Dans tous les cas, même si la simple image ne remplacera pas le père ou la mère décédé(e) ou parti(e), cela permet de remédier au fait qu’on soit « vraiment seul », où l’enfant aura tendance à croire qu’il est face à un « égal », ce qui affectera sur l’autorité du parent présent.

Faire appel aux autres

Le fait de solliciter les autres, notamment les grands parents, les oncles et/ou les tantes de l’enfant, apportent beaucoup, non seulement à ce dernier mais également au père ou la mère seul(e).
Pour l’enfant, passer un week-end ou des vacances chez ses grands parents, par exemple, ne pourra que faciliter son émancipation. En effet, si le parent seul veut tout faire par lui-même, il créera une plus grande dépendance de l’enfant, et même que celui-ci se culpabilisera quand viendra le moment où il devra quitter papa ou maman.
Pour le parent, cela lui permettra de retrouver une vie sociale, et pourquoi pas sentimentale. En effet, bien qu’on se sente obligé de faire le « double du travail », une frustration risque de s’installer si on n’a aucune vie en dehors de son enfant.