Découvrez ici trois différentes méthodes de contraception hormonale féminines

La contraception est une méthode utilisée pour diminuer ou éviter la probabilité d’une grossesse. Elle peut être utilisée aussi bien chez la femme que chez l’homme. Pour les femmes, il existe différents types de méthodes de contraception hormonale féminine. Et comme son nom l’indique, ces méthodes sont toutes à base d’hormones féminines, c’est-à-dire à base d’œstrogène ou de progestérone. Pour trouver le type de contraception adapté à votre corps et à votre mode de vie, découvrez ici trois exemples de méthode de contraception hormonale féminine. Cependant, si la contraception permet d’échapper à une grossesse non prévue, il faut savoir qu’elle ne protège pas contre les infections sexuellement transmissibles comme l’IST ou le VIH/sida.

La pilule, contraception la plus utilisée au monde

La pilule est la méthode de contraception hormonale féminine la plus adoptée jusqu’ici. En général, toutes les pilules se présentent sous la même forme (en comprimés) et peuvent être de différentes couleurs. Pour que la pilule soit efficace, le premier comprimé doit être pris le 1er jour des règles, 1 par jour et à une heure régulière, et cela, jusqu’à l’épuisement d’une plaquette. Il faut savoir que la pilule a toujours un effet immédiat. Après avoir pris une plaquette, il y aura toujours une période de 7 jours d’arrêt durant laquelle surviennent les règles. Puis, au 8e jour, il faut reprendre le premier comprimé de la plaquette suivante, et cela, même si les règles ne sont pas encore terminées. En cas d’oubli, il faut toujours demander l’avis de son médecin, car la reprise de la pilule dépend de la situation et de plusieurs facteurs.

Le patch, plus simple à utiliser

Le patch est également un autre type de méthode de contraception hormonale féminine. Il s’agit d’un timbre autocollant qui disperse des hormones féminines à travers la peau. Pour être efficace, le patch doit être collé sur la peau le premier jour des règles et retiré le 8e jour. Ensuite, de nouveaux patchs seront recollés durant 3 semaines, à raison d’un patch par semaine. A la fin de troisième semaine, il faut rester pendant 7 jours sans patch. C’est la période durant laquelle les saignements apparaissent. Puis, le 8e jour, un nouveau patch devra être recollé à un endroit différent sur la peau. Et cela, même si les saignements ne sont pas encore achevés. À noter que le patch peut être collé sur n’importe quelle partie de l’organisme sauf sur une peau irritée ou sur les seins. Il suffit de bien vérifier qu’il ne se décolle pas. En outre, le patch résiste bien à l’eau et il demeure toujours efficace même en cas de vomissements.

L’anneau vaginal, le moins utilisé

Il s’agit d’un anneau en plastique flexible qu’on installe dans le vagin pour diffuser des hormones féminines. À la première utilisation, l’anneau doit être installé dans le vagin le premier jour des règles et il doit être laissé en place durant 21 jours, puis retiré pendant 7 jours (une période durant laquelle les règles surviennent). Le 8e jour, un nouvel anneau doit être installé. À noter que l’anneau vaginal peut être gardé même durant les rapports sexuels. Cependant, en cas de gêne, il peut être retiré pendant 3 heures par jour au maximum. Et avant de le réinstaller, il faudra toujours le rincer à l’eau froide. L’anneau vaginal demeure toujours efficient même en cas de vomissements.
Sources :
– Acné et cycle menstruel : Vitaemed.com
– Le patch contraceptif : Cosmopolitan.fr
– Usage de l’anneau vaginal : sante.lefigaro.fr

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